Pour le truel qui arrive en fin de semaine (si je ne dors pas d'ici là). Devinez qui est l'invité surprise.
mardi 30 juin 2009
Teasing
Niveau geek requis: 0
Pour le truel qui arrive en fin de semaine (si je ne dors pas d'ici là). Devinez qui est l'invité surprise.
Pour le truel qui arrive en fin de semaine (si je ne dors pas d'ici là). Devinez qui est l'invité surprise.
Akihabara, welcome to geek paradise! (part 1)
niveau geek requis:3,141592
Salutations fidèles lecteurs ! Si il y en a parmi vous qui croient encore (les pauvres naïfs) que ce voyage au Japon est un stage ingénieur, je tiens ici à briser leurs illusions (toi qui lis ceci abandonne tout espoir)! Je ne suis là que pour satisfaire mes penchants geek ! M’abreuver à la source même ! Effectuer un pèlerinage ! Oula je m’emballe… Bon comme le sujet qui suit est vaste, il fera l’objet d’une trilogie, boostage de stat oblige.
Akihabara (littéralement champ de feuilles d'automne) est un quartier de Tokyo célèbre pour ses très nombreuses (innombrables, infinies, rayer les mentions inutiles…) boutiques d'électronique. Il est connu dans le monde sous le nom de « Akihabara Electric Town » ou « Electric city » (ouh quel jeu de mot!). Le centre de ce quartier étant la gare Akihabara du JR Est. Jadis zone défriché pour se protéger des incendies (avec un petit temple au milieu, toujours visible), le quartier, détruit pendant la Seconde Guerre mondiale, vit par la suite s’installer les étudiants des environs qui vendaient des appareils électriques (surtout des radios) qu'ils fabriquaient avec les surplus que l'armée leur cédait (le terme vendre est ici une insulte aux lois du commerce). Le marché de l'électronique, pris de l’ampleur dans les années 60 grâce au boom de l'électroménager, puis se fut le tour de l'informatique dans les années 80. Actuellement l’électronique partage son hégémonie avec les mangas et les goodies : Akihabara est de plus en plus destiné aux otakus (yes we gonna rules the world).
Quand on arrive sur la rue principale, ce qui surprend au premier abord ce sont les enseignes publicitaires qui recouvrent entièrement les façades des immeubles. En gigantesque s’étalent des portraits kawai de filles avec de gros seins, mais pas seulement (cf photos).
Il y a trois types de boutiques :
1/ Les supermarchés de l'électronique dernier cri. Grand public et vendant généralement des produits hors-taxes pour les touristes, on les trouve sur les grands axes comme l’immense Yodobashi-Akiba. Electroménager, téléphonie mobile, ordinateurs, matériel informatique et jeux vidéo (il faut que j’apprenne le Japonais. Bave) , on peut tout y trouver à bon prix, même des produits japonais destinés au marché français.
2/ De petites (minuscules, voire claustrophobiques) boutiques ultra-spécialisées situées dans les marchés couverts, ou les ruelles étroites, on peut trouver toutes les pièces détachées et accessoires (de cet univers et de celui d'à coté), de la guirlande électrique de noël, en passant par les dernières puces électroniques de la CIA. Pour passer d'une rue à l'autre, il y a des petits passages qui font quelquefois à peine 1m50 de large et dans lesquels on trouve des boutiques incroyables.
3/ Les maids café… Alors là éloignez les âmes innocentes ! Le principe est simple : c’est un café normal, avec des cartes normales, et des serveuses normales… Le seul truc anormal c’est le prix ! Pourquoi payer 1500yen (10 euros) pour un café? Eh bien en fait, on paye la tenue des hôtesses, ainsi que les mimiques quand elles vous servent (la voix notamment)!
Bien, avant tout commentaire désobligeant, je tiens à vous dire que je n’y suis pas allé pour diverses raisons… (La langue, le jeune âge des serveuses qui se font du blé sur le dos des vieux vicelards, et puis le coté prostitution infantile qui empêche d’apprécier le café…) Mais rien n’empêche de le photographier dans la rue où elles font de la pub (racolages) pour leur café…
Demain nous parlerons de oh et puis vous verrez bien.
Salutations fidèles lecteurs ! Si il y en a parmi vous qui croient encore (les pauvres naïfs) que ce voyage au Japon est un stage ingénieur, je tiens ici à briser leurs illusions (toi qui lis ceci abandonne tout espoir)! Je ne suis là que pour satisfaire mes penchants geek ! M’abreuver à la source même ! Effectuer un pèlerinage ! Oula je m’emballe… Bon comme le sujet qui suit est vaste, il fera l’objet d’une trilogie, boostage de stat oblige.
Akihabara (littéralement champ de feuilles d'automne) est un quartier de Tokyo célèbre pour ses très nombreuses (innombrables, infinies, rayer les mentions inutiles…) boutiques d'électronique. Il est connu dans le monde sous le nom de « Akihabara Electric Town » ou « Electric city » (ouh quel jeu de mot!). Le centre de ce quartier étant la gare Akihabara du JR Est. Jadis zone défriché pour se protéger des incendies (avec un petit temple au milieu, toujours visible), le quartier, détruit pendant la Seconde Guerre mondiale, vit par la suite s’installer les étudiants des environs qui vendaient des appareils électriques (surtout des radios) qu'ils fabriquaient avec les surplus que l'armée leur cédait (le terme vendre est ici une insulte aux lois du commerce). Le marché de l'électronique, pris de l’ampleur dans les années 60 grâce au boom de l'électroménager, puis se fut le tour de l'informatique dans les années 80. Actuellement l’électronique partage son hégémonie avec les mangas et les goodies : Akihabara est de plus en plus destiné aux otakus (yes we gonna rules the world).
Quand on arrive sur la rue principale, ce qui surprend au premier abord ce sont les enseignes publicitaires qui recouvrent entièrement les façades des immeubles. En gigantesque s’étalent des portraits kawai de filles avec de gros seins, mais pas seulement (cf photos).
Il y a trois types de boutiques :
1/ Les supermarchés de l'électronique dernier cri. Grand public et vendant généralement des produits hors-taxes pour les touristes, on les trouve sur les grands axes comme l’immense Yodobashi-Akiba. Electroménager, téléphonie mobile, ordinateurs, matériel informatique et jeux vidéo (il faut que j’apprenne le Japonais. Bave) , on peut tout y trouver à bon prix, même des produits japonais destinés au marché français.
2/ De petites (minuscules, voire claustrophobiques) boutiques ultra-spécialisées situées dans les marchés couverts, ou les ruelles étroites, on peut trouver toutes les pièces détachées et accessoires (de cet univers et de celui d'à coté), de la guirlande électrique de noël, en passant par les dernières puces électroniques de la CIA. Pour passer d'une rue à l'autre, il y a des petits passages qui font quelquefois à peine 1m50 de large et dans lesquels on trouve des boutiques incroyables.
3/ Les maids café… Alors là éloignez les âmes innocentes ! Le principe est simple : c’est un café normal, avec des cartes normales, et des serveuses normales… Le seul truc anormal c’est le prix ! Pourquoi payer 1500yen (10 euros) pour un café? Eh bien en fait, on paye la tenue des hôtesses, ainsi que les mimiques quand elles vous servent (la voix notamment)!
Bien, avant tout commentaire désobligeant, je tiens à vous dire que je n’y suis pas allé pour diverses raisons… (La langue, le jeune âge des serveuses qui se font du blé sur le dos des vieux vicelards, et puis le coté prostitution infantile qui empêche d’apprécier le café…) Mais rien n’empêche de le photographier dans la rue où elles font de la pub (racolages) pour leur café…
Demain nous parlerons de oh et puis vous verrez bien.
vendredi 26 juin 2009
Bambi est mort! Vive Pan-Pan!
Niveau geek requis: 0
Une anecdote véridique et en pleine journée de travail... Et le pire c'est que je n'étais pas le plus pitoyable...
Une anecdote véridique et en pleine journée de travail... Et le pire c'est que je n'étais pas le plus pitoyable...
mercredi 24 juin 2009
Bis repetita (ou comment faire deux posts avec le même dessin)
Niveau geek requis: 0
Le dessin de la précédente note est la base de mon deuxième essai au pastel, et au final, des deux je préfère celui là.
Par contre je ne me rends pas compte de ce que rend le scan car j'ai du mal dès qu'il s'agit des fonds noir.
Bientôt une note pas sérieuse (et même pleins d'autres...)
Le dessin de la précédente note est la base de mon deuxième essai au pastel, et au final, des deux je préfère celui là.
Par contre je ne me rends pas compte de ce que rend le scan car j'ai du mal dès qu'il s'agit des fonds noir.
Bientôt une note pas sérieuse (et même pleins d'autres...)
lundi 22 juin 2009
Encore une femme de dos
Niveau geek requis: 0
Encore un dessin au fusain représentant une femme de dos, je pense que ça doit révéler quelque chose sur mon moi intérieur...
En tout cas avant que vous me posiez la question, oui les cheveux sont bizarres, mais je voulais obtenir un certain effet (qui est d'ailleurs un échec!); Le plus drôle c'est que je ne me rappelle plus ce que c'était (des pertes de mémoire à mon âge)...
Encore un dessin au fusain représentant une femme de dos, je pense que ça doit révéler quelque chose sur mon moi intérieur...
En tout cas avant que vous me posiez la question, oui les cheveux sont bizarres, mais je voulais obtenir un certain effet (qui est d'ailleurs un échec!); Le plus drôle c'est que je ne me rappelle plus ce que c'était (des pertes de mémoire à mon âge)...
samedi 20 juin 2009
Eh listen!
Niveau geek requis: 2
Ces derniers temps, je passe pas mal de temps sur Internet: blogs BD, forums, etc...
La note du jour est un condensé de deux faits qui se sont recoupés...
Le premier, c'est deux articles l'un sur les cinquante jeux vidéos les plus vendus de l'histoire, et l'autre sur les meilleures musiques de jeux vidéos (preuves à l'appui)... Avec ces lectures, je plonge dans un océan de souvenirs vidéoludiques, et en trois jours j'ai fini (ou presque) deux jeux de ma série phare "The legend of Zelda" (Ocarina of time et link's awakening); série dont Ruxhart et moi partageons l'addiction.
Or le deuxième fait viens de ce même Ruxhart, qui m'a fait découvrir "les chroniques du V", et je vais avoir du mal à m'en remettre je crois...(allez y go go go!)
Du coup, pour le remercier et pour assouvir mon penchant zeldaiste j'ai réalisé ce petit crayonné qu'il appréciera j'espère. Merci à toi.
Ces derniers temps, je passe pas mal de temps sur Internet: blogs BD, forums, etc...
La note du jour est un condensé de deux faits qui se sont recoupés...
Le premier, c'est deux articles l'un sur les cinquante jeux vidéos les plus vendus de l'histoire, et l'autre sur les meilleures musiques de jeux vidéos (preuves à l'appui)... Avec ces lectures, je plonge dans un océan de souvenirs vidéoludiques, et en trois jours j'ai fini (ou presque) deux jeux de ma série phare "The legend of Zelda" (Ocarina of time et link's awakening); série dont Ruxhart et moi partageons l'addiction.
Or le deuxième fait viens de ce même Ruxhart, qui m'a fait découvrir "les chroniques du V", et je vais avoir du mal à m'en remettre je crois...(allez y go go go!)
Du coup, pour le remercier et pour assouvir mon penchant zeldaiste j'ai réalisé ce petit crayonné qu'il appréciera j'espère. Merci à toi.
mercredi 17 juin 2009
Les surfeurs peuvent aller se rhabiller
Niveau geek requis: 1
Juste un petit dessin et une idée à la con pour vous montrer mon nouveau tee-shirt (les amateurs apprécierons)...
Le premier qui fait une remarque désobligeante (le deuxième aussi, mais pas le troisième...) verra ses tripes répandues sur le sol, et son crâne rejoindre le trône de Khorne! Qu'on se le dise!
Juste un petit dessin et une idée à la con pour vous montrer mon nouveau tee-shirt (les amateurs apprécierons)...
Le premier qui fait une remarque désobligeante (le deuxième aussi, mais pas le troisième...) verra ses tripes répandues sur le sol, et son crâne rejoindre le trône de Khorne! Qu'on se le dise!
lundi 15 juin 2009
Senso-Ji
Le Sensō-ji est un temple bouddhiste, situé dans le quartier d’Asakusa. C'est le plus vieux temple, est un des plus significatifs de Tokyo. Ce temple est dédié au bodhisattva Kannon, divinité de la pitié. Selon la légende une statue du dieu aurait été trouvée dans la rivière Sumida en 628 par deux pêcheurs . Un petit temple fut alors installé, et en 645 il devint le temple tutélaire des Tokugawa, la famille de shoguns régnant alors sur le Japon.
Comme beaucoup de monuments dans Tokyo, ce temple a subi les outrages du temps, est ici en l'occurrence ceux de bombes de 500 kilos qui en détruisirent une grande partie pendant la seconde guerre mondiale. Reconstruit depuis, seul le petit temple hexagonal est un vestige des temples précédents.
Pour y entrer, il faut traverser la Kaminari-mon, la Porte du Tonnerre, gardée par deux statues de divinités du vent et de la foudre, dans laquelle est suspendue une massive lanterne de papier.
Une fois la porte passée, on se retrouve dans une allée marchande, où des dizaines de petites boutiques (89 sur 250) proposent des articles traditionnels japonais, plus ou moins authentiques (disons-le tout net, des attrape-nigauds pour touristes) : des statuettes de Bouddhas, des parchemins bouddhiques et des kimonos, mais aussi des T-shirts, des lunettes, des téléphones portables ou des jouets, 15000 spécialités culinaires locales ou non, ce qui donne à l'ensemble général l'allure du plus beau bordel que j'ai jamais vus sur cette terre, la preuve en image:
Le temple lui-même se trouve au bout de cette galerie animée et bondée, après avoir franchi la porte de la maison du trésor ou Hōzōmon (photo).
Le centre de la cour est occupé par un encensoir géant, autour duquel de nombreux Japonais s'amassent pour prier.
Sur les côtés, plusieurs étales proposent des oracles (Omikuji) et des charmes protecteurs pour 100 yens (un jour il faudra que je vous explique le principe de fonctionnement de cette levée de fonds religieuse, croyez-moi ce n’est pas triste). Au fond de la cour, en haut d'une volée de marches, se trouve le bâtiment principal du temple (mais si, là, juste derrière les échafaudages). Comme je vous sens frustré de ne pas avoir de photos de l'extérieur, laissez moi vous montrer quelques éléments de l'intérieur, comme les jolies fresques au plafond (profitez en, c'est très rare de pouvoir photographier l'intérieur d'un temple):
Une pagode orne un autre bâtiment.
Tout autour du temple se trouve un joli jardin contemplatif rempli de petits temples mineurs.
Comme beaucoup de monuments dans Tokyo, ce temple a subi les outrages du temps, est ici en l'occurrence ceux de bombes de 500 kilos qui en détruisirent une grande partie pendant la seconde guerre mondiale. Reconstruit depuis, seul le petit temple hexagonal est un vestige des temples précédents.
Pour y entrer, il faut traverser la Kaminari-mon, la Porte du Tonnerre, gardée par deux statues de divinités du vent et de la foudre, dans laquelle est suspendue une massive lanterne de papier.
Une fois la porte passée, on se retrouve dans une allée marchande, où des dizaines de petites boutiques (89 sur 250) proposent des articles traditionnels japonais, plus ou moins authentiques (disons-le tout net, des attrape-nigauds pour touristes) : des statuettes de Bouddhas, des parchemins bouddhiques et des kimonos, mais aussi des T-shirts, des lunettes, des téléphones portables ou des jouets, 15000 spécialités culinaires locales ou non, ce qui donne à l'ensemble général l'allure du plus beau bordel que j'ai jamais vus sur cette terre, la preuve en image:
Le temple lui-même se trouve au bout de cette galerie animée et bondée, après avoir franchi la porte de la maison du trésor ou Hōzōmon (photo).
Le centre de la cour est occupé par un encensoir géant, autour duquel de nombreux Japonais s'amassent pour prier.
Sur les côtés, plusieurs étales proposent des oracles (Omikuji) et des charmes protecteurs pour 100 yens (un jour il faudra que je vous explique le principe de fonctionnement de cette levée de fonds religieuse, croyez-moi ce n’est pas triste). Au fond de la cour, en haut d'une volée de marches, se trouve le bâtiment principal du temple (mais si, là, juste derrière les échafaudages). Comme je vous sens frustré de ne pas avoir de photos de l'extérieur, laissez moi vous montrer quelques éléments de l'intérieur, comme les jolies fresques au plafond (profitez en, c'est très rare de pouvoir photographier l'intérieur d'un temple):
Une pagode orne un autre bâtiment.
Tout autour du temple se trouve un joli jardin contemplatif rempli de petits temples mineurs.
jeudi 11 juin 2009
Des Alcools et une danseuse
Une petit ébauche de dessin, qui s'est bigrement concrétisée au fur et à mesure. C'était à la base une des esquisses pour une peinture sur le thème de Salomé (voir le poème d'Apollinaire correspondant). Bon, je sais pas si la peinture verra le jour, mais il reste au moins le crayonné...
Pour ceux qui se demandent si j'ai emmené de la peinture dans mes bagages, je réponds non, mais il existe des boutiques de fournitures d'art à Tokyo(sans blagues...), et je ne pense pas pouvoir résister à la perspective d'une razzia prochaine!
mardi 9 juin 2009
dimanche 7 juin 2009
La rigueur teutonne avec un arrière goût de saké
Le parc d’Hybiya est un parc dans le district de Chiyoda au cœur même de Tokyo. Il est d'une surface d'environ 160 m², et est compris entre les jardins du palace impérial à l'est, le district de Shinbashi au nord, et le district du gouvernement à l'ouest.
Ce parc a été utilisé pour des manœuvres militaires durant l'ère Meiji (sans blagues, ils devaient niquer la pelouse à chaque fois...), et n'a été converti en parc qu'en 1903 (ah OK, mais personnellement je trouvais qu'une armée de samouraïs courant et hurlant tout en ravageant le jardin était plus... fun).
Il se veut de style germanique, et est le premier jardin à l'occidentale de tout le Japon. Cette affiliation teutonne se retrouve dans l'architecture des maisons du parc,
mais aussi dans de menus détails sur les statues… Je vous laisse seul juge.
Oh, qu’il est joli ce jardin allemand, et surtout tellement authentique… Mais bon, on ne va pas cracher sur les jardins à la japonaise non plus.
Il est aussi célèbre pour le Shisei Kaikan, un bâtiment en briques construits dans un style gothique (en même temps c'est ce qui était marqué sur mon guide, mais personnellement je ne lui trouve pas un air très gothique, disons que tout au plus ça à l’air d'un bâtiment de Gotham City). Notons pour la précision historique qui date de 1929, et qu'il a hébergé de nombreux services administratifs (dont la police de Gotham bien entendu).
Ce parc est également connu pour ses concerts en plein air sur la scène que voici,
et ses courts de tennis (non pris en photo dans cet article). Pour pouvoir disposer de ces courts, il faut les réserver à l'avance. Je me suis laissé dire que ces derniers faisaient l'objet d'une âpre lutte due à leur proximité des districts financiers et gouvernementaux, qui regroupent des milliers de personnes (pour 5 courts à tout casser...). Je pense que tous les soirs tous les fonctionnaires et autres businessmen se réunissent pour se taper sur la gueule pour décider à qui ira le terrain. Il faudra que je revienne pour voir ça.
Au fait vous ne voulez pas avoir le même pot de fleur?
Ce parc a été utilisé pour des manœuvres militaires durant l'ère Meiji (sans blagues, ils devaient niquer la pelouse à chaque fois...), et n'a été converti en parc qu'en 1903 (ah OK, mais personnellement je trouvais qu'une armée de samouraïs courant et hurlant tout en ravageant le jardin était plus... fun).
Il se veut de style germanique, et est le premier jardin à l'occidentale de tout le Japon. Cette affiliation teutonne se retrouve dans l'architecture des maisons du parc,
mais aussi dans de menus détails sur les statues… Je vous laisse seul juge.
Oh, qu’il est joli ce jardin allemand, et surtout tellement authentique… Mais bon, on ne va pas cracher sur les jardins à la japonaise non plus.
Il est aussi célèbre pour le Shisei Kaikan, un bâtiment en briques construits dans un style gothique (en même temps c'est ce qui était marqué sur mon guide, mais personnellement je ne lui trouve pas un air très gothique, disons que tout au plus ça à l’air d'un bâtiment de Gotham City). Notons pour la précision historique qui date de 1929, et qu'il a hébergé de nombreux services administratifs (dont la police de Gotham bien entendu).
Ce parc est également connu pour ses concerts en plein air sur la scène que voici,
et ses courts de tennis (non pris en photo dans cet article). Pour pouvoir disposer de ces courts, il faut les réserver à l'avance. Je me suis laissé dire que ces derniers faisaient l'objet d'une âpre lutte due à leur proximité des districts financiers et gouvernementaux, qui regroupent des milliers de personnes (pour 5 courts à tout casser...). Je pense que tous les soirs tous les fonctionnaires et autres businessmen se réunissent pour se taper sur la gueule pour décider à qui ira le terrain. Il faudra que je revienne pour voir ça.
Au fait vous ne voulez pas avoir le même pot de fleur?
samedi 6 juin 2009
lundi 1 juin 2009
Des fois je me sens las, très las...
Nouveau carnet, nouvelles techniques de coloration, et nouvel échec critique...
Demain des choses plus sérieuses... (et encore c'est pas sur)
Inscription à :
Articles (Atom)
